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Le Dr Lawrence Rosenberg, Directeur Régional de la santé publique à Montréal, admet en entrevue à CTV Montréal, que la COVID n'est pas plus dangereuse que la grippe. Date de l'entrevue : 14 septembre.

https://www.ciussscentreouest.ca/a-propos-du-ciusss/leadership/president-directeur-general/

https://montreal.ctvnews.ca/video?clipId=1969242

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L'histoire se déroule dans un monde où chaque personne note les autres de 0 à 5, les mieux notés ayant accès à de meilleurs services. Lacie ne vit que pour améliorer sa note de 4,2 et cherche à quitter l'appartement qu'elle partage avec son frère, qui méprise le système de notation, pour les beaux quartiers. Elle se montre donc extrêmement polie et recherche toujours à obtenir l'approbation générale, quitte à mal noter un collègue qu'elle apprécie. Lacie est également en admiration devant Naomi, sa belle amie d'enfance qui a toujours maintenu sa note au-dessus de 4,6 dont elle garde le souvenir en scrutant ses profils sur les réseaux sociaux et en conservant une peluche qu'elles ont faite ensemble alors qu'elles avaient 5 ans.

Lacie trouve l'appartement idéal où elle pourrait vivre une vie de couple lisse et parfaite mais elle doit obtenir la note minimum de 4,5 pour avoir droit à une réduction de loyer. Sur l'avis d'un conseiller en cotation, elle tente de dresser une image plus personnelle d'elle-même et poste une photo de sa peluche. Peu après, Naomi la contacte : elle vient de se fiancer et demande à son amie d'enfance d'être sa demoiselle d'honneur. Lacie y voit une chance unique, par un discours millimétré, de faire grimper sa note et prépare alors minutieusement son texte.

Le jour de son départ, Lacie commet quelques faux pas (se dispute avec son frère, renverse la boisson d'une passante et prend son taxi en retard) si bien que sa note baisse légèrement mais suffisamment pour qu'à l'aéroport, elle ne puisse pas prendre le vol prévu. Elle commence alors à s'énerver et devenir grossière, elle est interdite de vol et l'agent de sécurité la sanctionne d'une baisse de note temporaire d'un point, ainsi qu'une « double pénalité » : chaque mauvaise note obtenue dans les 24 heures comptera double dans sa cote. Elle en est réduite à louer une voiture mais sa note, encore en baisse pour son début de scandale à l'aéroport, la contraint de prendre une voiture électrique dépassée. Quand la batterie tombe en panne et qu'elle ne trouve pas d'adaptateur, Lacie est finalement prise en stop par une camionneuse (notée à 1,4/5) qui comprend vite sa situation. La camionneuse raconte son histoire : elle-même autrefois était notée 4,6, mais sa note n'a pourtant pas permis à son mari de bénéficier des soins nécessaires pour le cancer qui l'a emporté, et elle a décidé de renoncer à la superficialité de ce système.

Au matin, après avoir roulé toute la nuit, Lacie est déposée par la camionneuse à environ 50 kilomètres du lieu du mariage. Elle parvient à se faire transporter par un groupe de cosplayeuses mais, en route, Naomi a vu la note de Lacie à 2,8 et refuse catégoriquement qu'une personne de son statut vienne, révélant qu'elle comptait uniquement sur la note de 4,2 que Lacie avait auparavant pour encore améliorer sa note. Furieuse et profondément blessée, Lacie décide malgré tout d'aller au mariage, empruntant un quad et s'introduisant par effraction dans le quartier résidentiel de Naomi, réservé aux personnes à une note supérieure à 3,8. Elle parvient à s'emparer du micro et commence, sale et ivre, un discours à cœur ouvert, révélant son admiration pour Naomi, son soutien quand Lacie a souffert de boulimie et sa douleur de la voir lui tourner le dos pour une vie en apparence parfaite, d'autant qu'elle avait couché avec son petit-ami.

Lacie est finalement arrêtée, sa note ayant chuté après son discours. Elle finit en cellule et voit un homme, lui aussi en cellule, en train de l'observer. Sans moyen de le noter, elle commence à lui faire des reproches et peu à peu, ils se lancent dans un concours d'insultes libératrices pour Lacie.

Cet épisode de Black Mirror est intéressant car il donne à réfléchir sur l’emprise de la technologie sur la société et sur les mentalités. De plus, il aborde des sujets tels que la socialisation1, la déviance, le contrôle social, la marchandisation des données, la hiérarchie sociale ou encore les réseaux sociaux en illustrant par une fiction les problématiques de la société.

Humanity is imprisoned by a killer pandemic. People are being arrested for surfing in the ocean and meditating in nature. Nations are collapsing. Hungry citizens are rioting for food. The media has generated so much confusion and fear that people are begging for salvation in a syringe. Billionaire patent owners are pushing for globally mandated vaccines. Anyone who refuses to be injected with experimental poisons will be prohibited from travel, education and work. No, this is not a synopsis for a new horror movie. This is our current reality.

Let’s back up to address how we got here...

In the early 1900s, America’s first Billionaire, John D. Rockefeller bought a German pharmaceutical company that would later assist Hitler to implement his eugenics-based vision by manufacturing chemicals and poisons for war. Rockefeller wanted to eliminate the competitors of Western medicine, so he submitted a report to Congress declaring that there were too many doctors and medical schools in America, and that all natural healing modalities were unscientific quackery. Rockefeller called for the standardization of medical education, whereby only his organization be allowed to grant medical school licenses in the US. And so began the practice of immune suppressive, synthetic and toxic drugs. Once people had become dependent on this new system and the addictive drugs it provided, the system switched to a paid program, creating lifelong customers for the Rockefellers. Currently, medical error is the third leading cause of death in the US. Rockefeller’s secret weapon to success was the strategy known as, “problem-reaction-solution.” Create a problem, escalate fear, then offer a pre-planned solution. Sound familiar?

Flash forward to 2020...

They named it COVID19. Our leaders of world health predicted millions would die. The National Guard was deployed. Makeshift hospitals were erected to care for a massive overflow of patients. Mass graves were dug. Terrifying news reports had people everywhere seeking shelter to avoid contact. The plan was unfolding with diabolical precision, but the masters of the Pandemic underestimated one thing... the people. Medical professionals and every-day citizens are sharing critical information online. The overlords of big tech have ordered all dissenting voices to be silenced and banned, but they are too late. The slumbering masses are awake and aware that something is not right. Quarantine has provided the missing element: time. Suddenly, our overworked citizenry has ample time to research and investigate for themselves. Once you see, you can’t unsee.

The window of opportunity is open like never before. For the first time in human history, we have the world’s attention. Plandemic will expose the scientific and political elite who run the scam that is our global health system, while laying out a new plan; a plan that allows all of humanity to reconnect with healing forces of nature. 2020 is the code for perfect vision. It is also the year that will go down in history as the moment we finally opened our eyes.

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Dans la soirée du mercredi 21 mars 2018, Nicolas Sarkozy est mis en examen par trois juges du pôle financier pour «corruption passive, financement illégal de campagne électorale et recel de détournement de fonds publics libyens». L'ancien président de la République aurait fait financer sa campagne pour la présidentielle de 2007 par Mouammar Kadhafi, l'ex-dictateur libyen. Pendant un an et demi, le journaliste Nicolas Vescovacci a enquêté sur ce dossier brûlant. De la Libye à l'Afrique du Sud, Elise Lucet et son équipe partent sur les traces des deux mystérieux intermédiaires qui œuvrent pour le compte de politiques français.

Premiers organismes apparus sur notre planète il y a un milliard d'années, les champignons, aussi appelés mycètes, semblent inclassables : ni plantes ni animaux, ils constituent un règne en soi. Si les comestibles nous sont les plus familiers, la variété des mycètes a de quoi surprendre : entre les levures et les organismes pluricellulaires, il existerait des millions d'espèces aux multiples vertus. Ce royaume étonnant s'avère être l'une des clés de la vie sur Terre. Ce documentaire remonte le fil de l'évolution, montrant comment les champignons ont façonné l'écosystème que nous connaissons, et fait le point sur les recherches scientifiques les plus récentes en mycologie

La tempête qui s'est abattue sur le toit en tôle de la case de Kisilu Musya a fait des ravages. De mémoire de fermier, jamais de tels orages n'avaient frappé cette région du Kenya ni causé de tels dégâts. «Merci pour la pluie», commente-t-il amèrement. En temps normal, les averses sont une bénédiction dans cette zone aride où l'eau est indispensable aux récoltes et à la survie. Mais les pluies sont devenues dévastatrices, inondant les terres et arrachant les plantations. Il y a cinq ans, la jeune réalisatrice norvégienne Julia Dahr est venue sur place et a fait la connaissance de Kisilu Musya

Etudiants, athlètes ou programmeurs, ils prennent des médicaments comme Adderall pour faire toujours plus et mieux dans un monde ultra-compétitif. Mais à quel prix ?

Des abeilles et des hommes (More than Honey) est un film documentaire suisse écrit et réalisé par Markus Imhoof et sorti en 2012.

À vocation pédagogique, il éclaire le spectateur sur l'éventualité d'une disparition des abeilles et des conséquences qu'elle produirait.

Il est sélectionné pour représenter la Suisse aux Oscars du cinéma 2014 dans la catégorie meilleur film en langue étrangère1.

RECYCLAGE: LA GRANDE ILLUSION
1 x 60 minutes

Après plus de vingt ans d'efforts, le recyclage au Québec est-il un échec? Le documentaire démontre, à partir de plusieurs angles, pourquoi c'est bel et bien le cas. À l'échelle canadienne, la performance québécoise est désastreuse. Les sites d'enfouissement demeurant beaucoup plus économiques que les centres de tri.

Il n'est pas étonnant que les barons des poubelles fassent des affaires d'or grâce aux 5,4 millions de tonnes de déchets annuels. Les bacs bleus sont mal utilisés par les citoyens : 15 % des matières déposées ne devraient pas y être. Les 24 centres de tri de la province ne traitent que 1 million de tonnes de matières par an alors qu'on en produit près de 6 millions de tonnes.

Nous constaterons qu'en matière de compostage, nous n'en sommes encore qu'aux balbutiements et que le recyclage du verre constitue davantage un problème qu'une solution, faute de stratégie cohérente. On verra enfin comment San Francisco, la ville la plus verte au monde, a réussi à changer les mentalités pour bientôt atteindre le ZERO WASTE, le Zéro Déchet.

Can. 2015. Documentaire de Michèle Hozer. Ingrédient incontournable des aliments transformés depuis 40 ans, le sucre est la principale cause d'obésité et de diabète de type 2 à travers le monde. Plaidoyer pertinent mais guère neuf contre l'industrie du sucre. Réalisation vivante. Experts convaincants. (sortie en salle: 21 août 2015)

La compagnie de production Laterna Films Inc. est heureuse d’annoncer la diffusion en grande première de son dernier film documentaire KANATA – Aujourd’hui la colonisation le mercredi 27 septembre à 20h aux Grands reportages de ICI RDI (rediffusion le samedi 30 septembre à 21 h 30). Fort du succès rencontré par L’or du golfe qui s’est classé en finale du Gala Québec Cinéma et des Prix Gémeaux, le réalisateur Ian Jaquier a repris la route pour cette fois-ci poser sa caméra dans plusieurs communautés autochtones aux quatre coins du pays, alors que le Canada fête les 150 ans de sa constitution.

Le Canada a la réputation d’être un pays où les droits de la personne sont garantis, où la diversité des peuples est célébrée. Pourtant, les membres des quelque 50 nations autochtones qui vivent ici depuis des millénaires sont encore aujourd’hui considérés comme des citoyens de seconde classe. Pire encore. Des milliards de dollars en minerais, bois ou pétrole sont extraits de leurs terres ancestrales, à quelques kilomètres de leurs réserves dont les conditions de vie sont trop souvent dignes du tiers-monde. Pendant 150 ans, les Premières Nations du Canada ont été victimes d’un génocide culturel à grande échelle. Le gouvernement devait les chasser de leurs terres pour mieux ouvrir le territoire aux compagnies d’extraction. Aujourd’hui, les petits enfants de ces générations sacrifiées veulent se réapproprier l’héritage de leurs ancêtres et reprendre le contrôle politique et économique de leurs terres ancestrales.

Au final, le film est un grand voyage à travers le Canada qui nous plonge au cœur des enjeux des Premières Nations et rappelle qu’une réconciliation entre autochtones et non-autochtones devra sans contredit passer par un partage plus équitable du territoire.

« Je suis un immigrant. Ça fait 20 ans que je suis arrivé ici au Québec. Avant que Kevin Parent me présente son meilleur ami autochtone lors du tournage de mon précédent film L’or du golfe, les Premières Nations étaient pour moi le “grand peuple invisible” dont parlait Richard Desjardins. Je pensais naïvement que l’exploitation cupide du territoire nous appauvrissait en tant que pays. Mais les grands perdants dans tout ça, ce sont les peuples autochtones qui n’ont jamais cédé leur territoire. Et on continue aujourd’hui de les voler en les asservissant par de vieilles lois de plus de 140 ans! Même le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits des peuples autochtones dénonce les conditions de vie sur les réserves! » – Ian Jaquier, réalisateur et scénariste

« Tant qu’on aura pas notre autodétermination, il n’y aura pas de réconciliation possible! »

– Maïtée Labrecque-Saganash, Crie.

Bien que les communautés autochtones puissent être très hermétiques aux caméras de l’extérieur, l’équipe a su gagner la confiance des protagonistes. Cela permet de ponctuer le film de témoignages poignants pendant que l’équipe suivait au plus près cette nouvelle résistance autochtone qui se dessine et gagne progressivement la sympathie des Canadiens. Que ce soit Maïtée Labrecque-Saganash (militante crie de Waswanipi, QC) qui se bat contre la coupe d’une des dernières forêts intactes du Québec, le Grand Chef Serge “Otsi” Simon de Kanesatake qui tente d’empêcher le passage du pipeline Énergie Est de TransCanada sur ses terres ou Sam Hunter (Mushkegowuk de Peawanuck, ON) qui veut repousser le diamantaire sud-africain DeBeers, tous ont en commun de refuser la colonisation du 21e siècle afin d’infléchir un nouveau destin à leur peuple.

KANATA – Aujourd’hui la colonisation est une production de Laterna Films Inc. avec la participation financière du Fonds des Médias du Canada, des programmes de crédits d’impôt provincial et fédéral, en collaboration avec ICI RDI.

Indispensables au bon fonctionnement du corps, les graisses alimentaires sont accusées de boucher les artères et de favoriser l'obésité et les accidents cardio-vasculaires. Pourtant, on sait aujourd'hui que les preuves scientifiques incriminant les lipides sont plutôt maigres. Désormais, de nombreux spécialistes militent pour le retour en grâce de ces graisses dans les assiettes. Gros plan sur les stratégies des lobbies du sucre pour faire porter aux matières grasses le chapeau de l'obésité et sur les stratégies des marques pour vendre quantité de produits allégés à l'efficacité parfois douteuse.

Les antibiotiques sont l'arme la plus puissante contre les infections bactériennes mais à force d'en abuser, les bactéries ont appris à se défendre contre eux.

Un docu-fiction ambitieux, "Premier homme", sur M6 ce mardi 4 avril à 21h, entend actualiser l'histoire de nos origines, "plus anciennes" que ce que l'on croyait, selon le paléoanthropologue Pascal Picq, coauteur du scénario.

Le film "Premier homme", réalisé par Frédéric Fougea et Jérôme Guiot sous la direction scientifique de Pascal Picq, multiplie effets spéciaux et maquillages dignes d'Hollywood afin d'apporter "tous les éléments de reconstitution de la vie de nos ancêtres, beaucoup plus riche qu'on imaginait".

"Nous sommes tous très marqués par notre culture théologique et philosophique qui a ancré l'idée dualiste complètement fausse, 'l'homme et le singe'", dit à l'AFP Pascal Picq, maître de conférences au Collège de France. Pour lui, "la France est un des grands pays scientifiques les plus en retard sur la connaissance comportementale des espèces animales, appelée l'éthologie".

Alors que les récifs de corail disparaissent peu-à-peu dans le monde, un groupe de scientifiques et photographes se lancent dans une aventure pour nous faire découvrir les mystères sous-marins.

Eminent photographe du « National Geographic », James Balog a été chargé en 2005 par le magazine américain d'immortaliser la fonte des glaciers, conséquence des changements météorologiques. Une mission qui a convaincu ce climatosceptique de la réalité du phénomène, qu'il filma ensuite pendant plus de trois ans au cours de son projet Extreme Ice Survey (EIS), destiné à faire prendre conscience au grand public de son ampleur. Le document retrace cette épopée qui a mené Balog et son équipe au Groenland, en Alaska et dans les Rocheuses, entre autres

Un documentariste utilise sa propre vie de famille comme point de départ pour explorer les problèmes éthiques qui se posent à la FDA et à l'industrie pharmaceutique.

Ransomware, phishing, cheval de troie ou virus : il existe de nombreuses façons de s'approprier les données personnelles d'utilisateurs trop peu vigilants. Le journaliste et réalisateur Victor Castanet explore les techniques de piratage de données personnelles, en quête de solutions efficaces pour s'en prémunir.

Cowspiracy est un documentaire d’importance majeure. Controversé, il se penche sur l’impact de l’élevage sur l’environnement. Kip Andersen, producteur et directeur du film, révèle des informations exclusives portant sur les politiques de groupes environnementaux comme Greenpeace, Sierra Club, Surfrider Foundation, and Rainforest Action Network en plus de statistiques alarmantes sur les impacts que génèrent la consommation de viande.

En Amérique du Nord, le Québec est tristement célèbre pour son record du plus grand nombre d'animaux domestiques abandonnés. Une situation alarmante qui incite de plus en plus de citoyens à enrayer le fléau. Rencontre avec des personnes qui s'occupent d'animaux laissés par leurs maîtres ou ayant subi la maltraitance.

S'affranchir des circuits de distribution traditionnelle, produire soi-même et préserver la planète, tendre le plus possible vers l'autonomie... c'est possible ! Christophe Laplace ne paie quasiment plus de factures. Avec sa femme et ses trois enfants, il a construit une maison à énergie positive dans le Nord. Grâce à la permaculture, Christophe Koëppel fournit 500 kilos de fruits et légumes par an aux membres de son association strasbourgeoise. A Sadirac, dans le département de la Gironde, Grégory Biton enseigne l'aquaponie à des stagiaires venus du monde entier. Près de Redon, en Bretagne, Michel Leclercq a réussi à fédérer un village en créant le premier parc éolien citoyen.

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