2A-2) L'échelle des discriminations

Cette vidéo vient de la chaîne d'Aldo Sterone :
https://www.youtube.com/user/AldoSterone111

Aldo Sterone résume très bien le dictat des minorités et comment elles révèlent par leur lâcheté l'hypocrisie de leur combat : toutes d'accord pour se dire offensées par une majorité pourtant essentiellement conciliante et silencieuse, mais incapable de l'ouvrir face à ceux qui menacent ouvertement leurs valeurs. Elles se défoulent sur ceux qui tolèrent leurs haines gratuites et se taisent face à ceux qui ne tolèrent même pas qu'elles l'ouvrent.

Morale de l'histoire, les minorités militantes deviennent exactement ce qu'elles reprochent à leurs têtes de turc d'être : fortes avec les faibles (à qui elles reprochent au pire d'avoir juste peur d'elles : voir tous les mots débiles avec terminaison en "phobe", ce qui devrait en fait les rassurer du caractère dissuasif de leur combat) et faibles avec les forts qui n'ont pas peur d'elles et qui cherchent déjà plus ouvertement à les agresser physiquement. Faut croire qu'il est plus urgent pour ces minorités de convaincre les gens de ne surtout pas devenir machin-phobes que de combattre ceux qui sont déjà machin-vores.

Autrement dit, les minorités militantes ne sont qu'une bande de pleutres qui se défoulent sur une masse de personnes non hostiles, qui ne rendent même pas les coups, et qui n'osent par contre même pas lever le petit doigt sur les quelques uns qui seraient davantage prêts à leur en mettre.
Bref, le syndrome de Stockholm dans toute sa splendeur. Amoureuses de leur bourreau et détestant ceux qui sont inoffensifs. Le message sous-jacent serait presque "frappez-moi pour que je vous respecte".