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René Marcel Sauvé UQAM 2010 - PIERRE TRUDEAU voulait ATTAQUER le Québec suite à l'élection de 1976 !
Voici le courriel exact qui a été expédié par moi, aux journalistes, le 14 mai 2010, sur ce lien :
http://pierregirard.org/1/26jan2022/JRMS--15_nov-1976--Trudeau-ordonne-la-preparation-d_une_-intervention-armee.htm
RM Sauvé : 15 novembre 1976, Trudeau ordonne la préparation d’une intervention armée...
Alors, M. Sauvé prend un congé et va en Angleterre pour acheter des armes....
Par
Pierre Girard, René Marcel Sauvé
Tribune libre de Vigile
vendredi 14 mai 2010
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La police montée est venu me voir et m’a dit : "we know its you, etc". J’ai répondu : "si je monte une armée québécoise pour me battre contre vous, je vais vous tirer dans face avec des armes anglaises parce que ça va vous faire plus mal".
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Le soir même de la victoire du PQ du 15 novembre 1976, Trudeau, grinçant des dents, a fait des menaces et il a ordonné la préparation d’une intervention armée appelée "Canadian unity studies", les Études sur l’unité canadienne. Là, il y avait des menaces réelles et graves d’intervention armée parce qu’à Ottawa et à Toronto on ne tolérait pas la présence d’un mouvement indépendantiste.
Cette fois-là, j’avais préparé un projet de contingentement, CAD, quelque chose pour se préparer vite au cas où l’armée viendrait. J’ai alors pris deux semaines de congé et j’ai été en Angleterre pour acheter des armes. Là, c’était un choc évidemment, mais ça a marché. À l’Impérial Trust à Londres, j’ai demandé des chars d’assaut anglais, des canons et mortiers anglais et d’autres armes Anglaises, etc. en leur disant que c’était pour le Québec. Ils ont dit que si notre position était légitimée qu’ils nous avanceraient 200 millions de livres sterling, mais à la condition d’acheter seulement des armes anglaises.
Je savais que j’étais suivi par la GRC, mais, des fois il faut faire exprès de se laisser talonner ainsi si on veut que tout soit connu à Ottawa et que ça se rende jusqu’au bureau de Pierre Trudeau. Finalement, en 1977, j’ai préparé un document complet avec les propositions d’armes. Les Allemands se sont ajoutés, car ils voulaient aussi nous vendre des armes - une bonne mitrailleuse, un bon char d’assaut plus gros que le char anglais. Ensuite, les Français sont arrivés pour vendre des missiles. Dès que votre position est légitimée, on va vous envoyer tout ce que vous voulez. D’accord !
Ce qui était arrivé, c’est qu’au Canada, le système de propagande avait répandu l’idée que nous étions communistes, ce qui était faux, répandu l’idée que nous étions armés par l’URSS, que nous avions des armes russes ou provenant de la Chine communiste.
La police montée est venu me voir et m’a dit : "we know its you, etc". J’ai répondu : "si je monte une armée québécoise pour me battre contre vous, je vais vous tirer dans face avec des armes anglaises parce que ça va vous faire plus mal". Cela a été le choc de 1977-78. En février 1978, Pierre Elliot Trudeau a déclaré en public qu’il n’était pas question de prendre les armes contre le Québec si le Québec décide de faire l’Indépendance.
Cela s’appelle gagner une guerre sans tirer un seul coup de fusil. Il faut savoir le faire et il faut avoir été à l’intérieur du système. J’ai fait changer plusieurs articles de loi parce qu’ils étaient mal écrit en anglais et en français et dont le libellé portait à confusion. Des lois avaient été écrites par des avocats sans savoir le sens des mots. Ces lois ont alors été changées ensuite.
En conclusion, si on veut faire bouger quelque chose, si on veut forcer un gouvernement ; il faut le faire de l’intérieur, l’intérieur du système, de l’état-major, de l’administration publique.
Le Québec est un État, parce qu’à l’intérieur de tout notre système nous avons créé les assises d’un État et cet État-là fonctionne. Alors, on a pas besoin de faire une crise pour faire l’indépendance, on a seulement à dire à Ottawa : "nous sommes un État, nous sommes responsable de nos affaires, nous sommes compétent pour régler nos affaires, veuillez obtempérer, ramasser vos pénates et sortir du Québec. Et Ottawa va être obligé de sortir.
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- J. René Marcel Sauvé, géographe spécialisé en géopolitique et en polémologie, a fait ses études de base à l’institut de géographie de l’Université de Montréal. En même temps, il entreprit dans l’armée canadienne une carrière de 28 ans qui le conduisit en Europe, en Afrique occidentale et au Moyen-Orient. Poursuivant études et carrière, il s’inscrivit au département d’histoire de l’Université de Londres et fit des études au Collège Métropolitain de Saint-Albans. Il fréquenta aussi l’Université de Vienne et le Geschwitzer Scholl Institut Für Politische Wissenschaft à Munich. Il est l’auteur de Géopolitique et avenir du Québec et Québec, carrefour des empires.
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Pierre Girard, activiste sous les ordres de Jésus-Christ, par l'intermédiaire de l'Esprit de Vérité - le Saint-Esprit - qui m'habite.
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