First published at 14:11 UTC on March 8th, 2018.
Les camps de concentration restent le symbole de la « dictature nazie ». La façon dont leur histoire a été et reste enseignée à la jeunesse mérite d'être analysée. Car loin d'être innocente, elle permet au Système de forger des « bien-pens…
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Les camps de concentration restent le symbole de la « dictature nazie ». La façon dont leur histoire a été et reste enseignée à la jeunesse mérite d'être analysée. Car loin d'être innocente, elle permet au Système de forger des « bien-pensants », c'est-à-dire des électeurs opposés à tout ce qui, de près ou de loin, évoque la Tradition, le Sol, la Race, le Bien commun, l'Ordre naturel... A la place, on promeut une société où, au nom des libertés individuelles, on revendique tous les droits, tous les choix de vie,une société où, l'ordre naturel étant rejeté, tout se vaut...
Le national-socialisme opposa précisément deux visions du monde : celle du consommateur individualiste amorphe et celle de l'Homme courageux, volontaire, soucieux du Bien commun. D'où l'actualité de cette question posée dès 1948 par Maurice Bardèche : « Et si le national-socialisme avait été, en réalité, la vérité et le progrès, ou du moins, une forme de la vérité et du progrès ? »1 Malgré cela, les masses persistent à rejeter catégoriquement les idéologies d'ordre regroupées sous le terme générique de « fascisme ». Pourquoi ?
Parce que le message inculqué est toujours le même : « N'oubliez pas les leçons de l'histoire et sachez que même affublé du masque de la respectabilité, le fasciste reste ce qu'il a toujours été : une dictature abominable avec le travail forcé pour les uns, l'emprisonnement pour les autres et la mort pour les racialement impurs. Souvenez-vous aussi que les pires dictateurs peuvent utiliser la démocratie pour prendre le pouvoir. Par conséquent, votez pour n'importe qui, même s'il s'agit d'un escroc notoire, plutôt que vous abstenir ou, pire, voter pour un facho. Dans ce genre de régime, les libertés individuelles sont réduites à néant. »
La vérité est cependant tout autre : Hitler arriva au pouvoir lorsqu'en Allemagne, le parlementarisme était déjà mort ; il ne fit que prendre acte d'une situation et adopter les mesures que la logique des choses imposait afin de sauver le ..
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