First published at 10:12 UTC on December 19th, 2019.
Dans ce second épisode, Vincent Reynouard explique pourquoi il n'éprouve aucune haine à l'encontre de ses ennemis et de ceux qui lui ont infligé des épreuves.
Après avoir rappelé comment Hitler décrivait la pénétration juive dans la sociét…
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Dans ce second épisode, Vincent Reynouard explique pourquoi il n'éprouve aucune haine à l'encontre de ses ennemis et de ceux qui lui ont infligé des épreuves.
Après avoir rappelé comment Hitler décrivait la pénétration juive dans la société, il explique l'origine de ce phénomène. Car identifier le mal qui nous ronge est capital si l'on veut sauver notre civilisation ; autrement, on ne fait que proposer de fausses solutions et procurer (au mieux) un soulagement temporaire...
Plan du deuxième épisode :
- Un enseignement capital : nous sommes les seuls responsables de nos vies
- Inutile de haïr l'autre qui n'est qu'un instrument de la Providence
- Le cas des Juifs
Troisième partie : Le mal qui ronge nos sociétés modernes
- De l'Homme, le scientisme dresse un portrait désespérant
- Diviniser un néant : la contradiction mortelle de nos sociétés matérialistes
- L'espoir illusoire du transhumanisme
- Une contradiction d'où surgit l'hédonisme
A suivre :
Quatrième partie : Les arguments erronés du matérialisme
- L'argument de l'ADN commun entre le singe et l'Homme
- Le déterminisme des lois physiques : une erreur. Le libre arbitre existe
- La pensée humaine n'est pas qu'un simple processus physico-chimique né dans le cerveau
Cinquième partie : A la recherche de la solution : pour un mariage harmonieux entre le matériel et le spirituel
- Notre conscience nous relie à l'Universel
- Réponse à l'objection matérialiste selon laquelle le « spirituel » ne saurait agir sur la matière
- La pensée dépasse les processus physico-chimiques observés par la Science
- La Science est incapable d'expliquer l'apparition de la Vie
- Une création dans laquelle l'Homme a sa place en tant qu'acteur libre
- La nécessité de compenser le monisme matérialisme par une retour du spirituel
- Pas de religion d'État, chacun doit se prendre en main
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