First published at 17:16 UTC on November 5th, 2021.
Outre les problèmes posés en matière de souffrance animale, des conditions de travail des ouvriers dans les abattoirs, et par la "taxe" de financement occulte de l’islam par les consommateurs (dont les non musulmans), il en est un autre qu…
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Outre les problèmes posés en matière de souffrance animale, des conditions de travail des ouvriers dans les abattoirs, et par la "taxe" de financement occulte de l’islam par les consommateurs (dont les non musulmans), il en est un autre qui nous concerne tous et qui mérite d’être évoqué, une question essentielle et occultée : l’aspect sanitaire et de sécurité alimentaire.
En effet, rappelons que dans l’abattage halal, l’animal est saigné sans étourdissement. Il est pratiqué une très large incision de la gorge jusqu’aux vertèbres, sectionnant tous les organes de la zone, veines jugulaires et carotides pour la saignée, mais aussi la trachée et l’œsophage.
Cette pratique a pour conséquence une régurgitation du contenu de l’estomac par l’œsophage, lequel se trouve anatomiquement juste à côté de la trachée entraînant un risque énorme de contamination en profondeur de la viande. De plus, la longueur de l’agonie (qui peut durer jusqu’à 1/4 h) entraîne des soubresauts violents accompagnés de défécation et émission d’urine, le tout éclaboussant toute la zone d’abattage.
Le problème est que, selon des estimations récentes, 50% environ de la viande consommée est maintenant halal. Car si les musulmans sont encore minoritaires, ils ne consomment que certains morceaux, et qu’on ne peut laisser perdre le reste de la carcasse. La multiplication des cas de toxi-infections alimentaires touchent surtout des non musulmans, inconscients de ces risques incontrôlés et dont les habitudes culinaires les amènent à consommer la viande beaucoup moins cuite.
En hommage à Patrick d'Hondt, alias Tepa, qui nous a quitté trop tôt.
"Si vous écoutez ce message, c'est que vous êtes la résistance".
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